Télégraphe et Galibier

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Les cols du Télégraphe et du Galibier font peur, rien qu’en énonçant leurs noms. Mais la vallée de la Maurienne est tellement belle que le devoir d’un cycliste est de le gravir au moins une fois dans sa vie. Ce tour propose de gravir trois des plus belles pentes de France, avec le col de la Croix-de-Fer au retour.

Départ de Saint-Jean-de-Maurienne (1er jour)

La vallée de la Maurienne, terre de montagnes, et de cyclisme. C’est un passage traditionnel du Tour de France, tant les cols sont nombreux et difficiles. Terre de défis que tout amateur cycliste se doit de visiter un jour dans sa vie. Au sommet de cette hiérarchie se trouve le Galibier, culminant à 2642m d’altitude.

Le col du Galibier se monte en deux étapes. En effet, il est constitué de deux cols. Le premier à franchir, le Télégraphe, non moins célèbre, est juste la mise en bouche. Les choses sérieuses commencent aux environs du 15ème kilomètre. Le Télégraphe nous emmène sur un dénivelé qui descend rarement en dessous des 10%, sur plus de 10km, pour rejoindre un plateau descendant vers le village de Valloire.

Dans les premiers lacets du Galibier, la pente semble moins forte. Mais ce n’est que de courte durée. Le Galibier, s’est une route de plus de 18km au départ de Valloire, tout en virages, avec des pentes variant entre 8% et 12%. C’est un sacré numéro. Arrivé au sommet, à plus de 2600m, le vent se mêle à la fête. L’altitude et l’effort fourni donne le tournis.

Une fois les émotions passées, on reprend la route pour descendre le col du Lautaret, autre nom mythique de la région, pour rejoindre la vallée, avant de bifurquer à droite vers Villar-d’Arêne et encore plus loin, La Grave. La route longe alors “La Romanche”, rivière dont le nom prête à sourire pour un suisse, qui se jette dans le lac artificielle de Chambon.

Au sortir du Freney d’Oisans, il est possible d’emprunter la route vers la station de sports d’hiver de l’Auris, village étape pour cette première journée.

Départ d’Auris en Oisans (2ème jour)

Le point de départ est situé hors parcours, dans la station de ski d’Auris en Oisans. On descend la départementale D 211, pour rejoindre La Garde, situé au pied d’un autre monument de la région, l’Alpe d’Huez.

Vue sur le village d’Auris en Oisans

Une fois passé La Garde, le tracé continue vers le nord, longe le lac d’Allemont, puis attaque assez abruptement, la dernière difficulté de ce tour, le col de la Croix-de-Fer. Et c’est parti pour 25km de montée à 8% de moyenne. Le paysage est à couper le souffle. Prendre le temps de s’arrêter pour rapporter des photos est un conseil inutile, tellement il est impossible de passer devant sans photographier ces lacs d’altitudes à la couleur bleue azure.

Retour vers Saint-Jean-de-Maurienne

La route redesend vers Saint-Sorlin d’Arves, puis Saint-Jean d’Arves, avant de rejoindre le point de départ de cette boucle magnifique, mais éprouvante physiquement.

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